mercredi, août 25, 2010

Belgio: dossier mostro Marcinelle su Wikileaks da 2009, stampa lo scopre ora

Esteri | 25/08/2010 | ore 17.56   libero.it
Belgio:
dossier mostro Marcinelle su Wikileaks da 2009, stampa lo scopre ora

Bruxelles, 24 ago. (Adnkronos/Aki) - E' dal 17 aprile del 2009 che 1.235 pagine dell'inchiesta tuttora coperta da segreto istruttorio sul caso Dutroux, il pedofilo e pluriomicida belga ribattezzato il "mostro di Marcinelle", sono disponibili su Wikileaks, il sito specializzato nella pubblicazione di documenti segreti. Ma la stampa cosi' come l'opinione pubblica belga se n'e' accorta solo ora, rimanendo sconvolta dalla quantita' di materiale, tra cui verbali di interrogatori alle vittime, ai tanti indagati e al 'mostro' stesso, ma anche numeri di telefono, conti bancari, dati personali di molte delle persone coinvolte direttamente o indirettamente nell'affare. Molte le critiche sollevate dall'operazione anche da parte delle famiglie delle vittime."Non e' una procedura normale mettere sulla pubblica piazza questi elementi del fascicolo d'inchiesta", si e' lamentato Jean-Denis Lejeune, il padre di Julie, una delle ragazzine uccise e imprigionata per giorni nella cantina di Dutroux la cui sorte sconvolse il Belgio. Oltre a rendere pubblici dettagli agghiaccianti e dolorosi, la "pubblicazione infelice" di alcune delle parti dell'inchiesta su Wikileaks espone anche alla pubblica attenzione dati e nomi di persone che "non hanno nulla da rimproverarsi", ha criticato il procuratore generale di Liegi, Ce'dric Visart de Bocarme'."Sono informazioni, vere, false, molto disparate tra loro, che mettono in causa una serie di persone che talvolta non hanno nulla da rimproverarsi, che sono state semplicemente citate in un'inchiesta e che si vedono cosi' esposte, forse anche al pubblico ludibrio su internet, quando in realta' si tratta di elementi che devono restare coperti da segreto in un fascicolo giudiziario", ha sottolineato il procuratore.(segue)

 


È giusto che il futuro dell'Italia sia in mano agli stranieri

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   È giusto che il futuro dell'Italia sia in mano agli stranieri  italiaoggi.it  20100824

Piangere Togliatti è come rimpiangere i gulag sovietici

mardi, août 24, 2010

Immigrati: Commissione Ue snobbata, niente invito per riunione Parigi

Esteri | 24/08/2010 | ore 15.53 » libero.it
Immigrati: Commissione Ue snobbata, niente invito per riunione Parigi

Bruxelles, 24 ago. (Adnkronos/Aki) - Niente invito per la Commissione europea alla riunione convocata da Parigi per il 6 settembre con alcuni ministri dell'interno europei, annunciata dal ministro Roberto Maroni in un'intervista al "Corriere della Sera" e in cui quest'ultimo ha lasciato intendere che si discutera' anche di rivedere le politiche Ue inmateria di immigrazione ed espulsioni.

"La Commissione europea non ha finora ricevuto alcun invito alla riunione e quindi non vi sara' rappresentata", ha affermato il portavoce della commissaria alla giustizia Viviane Reding, sottolineando che "al momento non e' ci e' ancora stata resa nota l'agenda dell'incontro" di Parigi, a cui parteciperanno i ministri dell'interno, oltre a quelli di Francia e Italia, anche di Germania, Gran Bretagna, Spagna, Belgio e Canada. (segue)

CARITAS IN VERITATE

L’alliance du goupillon et du coffre-fort

L’alliance du goupillon et du coffre-fort

Abbé Gustave Stoop, ancien vice-président de Caritas catholica

Mis en ligne le 24/08/2010 lalibre.be

Certains dans l’Eglise défendent bec et ongles l’économie néolibérale. L’argent est au centre de trop nombreuses affaires alors qu’il devrait s’en tenir éloigné.

A quelques semaines de la visite papale à Londres, l’alliance du goupillon et du coffre-fort est plus que jamais d’actualité.

L’Eglise a perdu son âme depuis que l’empereur Constantin a fait du christianisme une religion d’Etat, en contradiction flagrante avec la parole du Christ fustigeant l’argent, telle que la rapporte, dans son Evangile, Matthieu : "Aucun homme ne peut servir deux maîtres. Car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon" (Matthieu 6, 24).

"Deux mille ans plus tard, assis sur le trône de Pierre, Benoît XVI célèbre le ralliement de l’Eglise catholique à l’économie de marché " C’est en substance ce que souligne l’économiste Serge Latouche dans un "décryptage de l’encyclique "Caritas in veritate" publié dans "Le Monde diplomatique" du mois d’août 2010(1).

Le pape, qui s’exprime selon sa conscience dans cette encyclique, prétend que "la mondialisation apparaît comme une bonne chose, de même que le libre-échange".

Avec une telle opinion, le Saint-Père "est [plus] proche des positions de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI)" que du message de l’Evangile(2).

Plus catholique que le pape, l’ancien directeur du FMI, Michel Camdessus, qui fut le "conseilleur" de Jean-PaulII, perçoit même "dans la globalisation" "l’avènement d’un monde unifié et plus fraternel" et va jusqu’à affirmer, avec d’autres auteurs, que "la mondialisation est une forme laïcisée de christianisation du monde."

Selon cette encyclique qui se prétend caritative, "la globalisation" serait "le principal moteur pour sortir du sous-développement". Aussi fait-elle également l’apologie de la "délocalisation heureuse".

Au terme d’un tel panégyrique, inutile d’y chercher la moindre critique du système : "Ni le capitalisme, ni le profit, ni la mondialisation, ni l’exploitation de la nature, ni les exportations de capitaux, ni la finance, ni bien sûr la croissance et le développement n’y sont condamnés en eux-mêmes : leurs "débordements" seuls sont coupables."

"Au final, la condamnation des injustices et de l’immoralité de l’économie mondiale actuelle va [curieusement] moins loin que celle du G20 de Londres" et des présidents français et américain.

Illustration concrète des idées défendues dans cette "ode papale à la "bonne" économie", ne devrions-nous pas nous interroger, entre autres, sur le commerce des canonisations qui a remplacé le trafic des indulgences et qui constitue un bien meilleur placement financier que bon nombre d’actions boursières ?

Certains dans l’Eglise défendent bec et ongles l’économie néolibérale, à telle enseigne que, comme Judas a vendu Jésus pour 30 deniers, Benoît XVI se laisse vendre 30 euros la place pour célébrer des messes payantes, dans le cadre de sa visite en tant que chef d’Etat au Royaume-Uni, auxquelles ne pourra, bien sûr, assister qu’un public VIP argenté(3).

Les questions d’argent sont également au centre de toutes les affaires de pédophilie qui salissent l’Eglise tant en Belgique qu’un peu partout dans le monde. Chez nous, l’ex-évêque de Bruges, Monseigneur Vangheluwe, pour ne citer que lui, est soupçonné d’avoir acheté le silence de sa victime.

Bref, l’alliance du goupillon et du coffre-fort est plus que jamais d’actualité.

Une image valant bien un mot, les lecteurs pressés sont invités à se référer à la caricature édifiante, signée Johan, dans "Le Soir"(4). S’ils le souhaitent, les autres pourront se reporter au dernier ouvrage de Jacques Vermeylen où l’auteur propose notamment d’"abandonner les titres honorifiques, les signes de richesse ou de puissance et les éléments folkloriques qui obscurcissent la mission de l’Eglise" (5).

Pour ma part, je fais mien le serment si souvent évoqué d’Henri Guillemin : "En dépit de tout, je reste et resterai membre de la communauté catholique. Pourquoi ? [ ] Parce que si "le message, parfois, se voile la face en traversant le messager", il existe, il demeure, ce message, toujours présent, toujours crédible. Parce que, trahissant et retrahissant la Parole qu’elle avait mission de répandre, l’Institution, en même temps, conservait intacte cette Parole qui la condamnait." (6)

(1) Sauf mention contraire, toutes les citations qui suivent sont tirées de cet article.

(2) Or, comme l’écrit avec une grande liberté Paul Tihon dans son dernier ouvrage, "c’est l’Evangile qui est important". (Paul Tihon, "Pour libérer l’Evangile", Les éditions du Cerf, Paris, 2009, p. 9)

(3) Le comportement des dignitaires de l’Eglise actualise la célèbre diatribe de Victor Hugo contre les cléricaux : "Je ne vous confonds pas avec l’Eglise. Vous êtes les parasites de l’Eglise. Vous êtes la maladie de l’Eglise. Ne l’appelez pas votre mère pour faire d’elle votre servante. Vous vous faites si peu aimer que vous finirez par la faire haïr." (Extrait du discours prononcé par Victor Hugo à l’Assemblée, le 15 janvier 1850, cité par Henri Guillemin, "L’affaire Jésus", Editions du Seuil, Paris, 1982, p. 72). Citation que j’ai faite mienne pour ne pas sombrer dans le doute.

(4) "Le Soir" du 9 août 2010.

(5) Jacques Vermeylen, "Le Marché, le Temple et l’Evangile", Les éditions du Cerf, Paris, 2010, p. 221.

(6) Henri Guillemin, op. cit., pp. 134-135.

Melfi, perché questa volta Fiat sbaglia. Il nodo è il rischio di paralisi del progetto per il veto di un sindacato minoritario.

vendredi, août 20, 2010

Intel ora guarda lontano e scommette sul software

Tulliani nel mirino dei pm di Perugia: "Inchiesta sull'origine del patrimonio"

Tulliani nel mirino dei pm di Perugia: "Inchiesta sull'origine del patrimonio"

di Redazione ilgiornale.it articolo di giovedì 19 agosto 2010


Secondo Panorama aperta un'inchiesta sul patrimonio della compagna del presidente della Camera. Alla base del fascicolo le dichiarazioni di Luciano Gaucci, ex compagno della Tulliani: "Se il mio patrimonio è illecito, perché non il suo a cui ho intestato beni fiduciariamente". Le ipotesi di reato sono concorso in bancarotta fraudolenta e ricettazioni



Perugia - La procura di Perugia ha appena aperto un’inchiesta sul patrimonio di Elisabetta Tulliani, la compagna del presidente della Camera Gianfranco Fini. Ne dà notizia il settimanale Panorama, in un articolo sul numero in edicola da domani, del quale è stata fornita oggi un’anticipazione. Secondo Panorama, nel capoluogo umbro è stato aperto un fascicolo "modello 45", cioè "quello che contiene notizie che potrebbero tramutarsi in ipotesi di reato, con conseguenti iscrizioni sul registro degli indagati".
La testimonianza di Gaucci Alla base dell’iniziativa giudiziaria sono le dichiarazioni rilasciate da Luciano Gaucci, ex proprietario del Perugia calcio (per il cui fallimento era finito sotto processo con l’accusa di bancarotta fraudolenta), e che dal 1997 al 2004 è stato legato a Elisabetta Tulliani. Gaucci sostiene che molti dei beni appartenenti alla ex compagna le furono "intestati fiduciariamente". Sempre a Panorama, il 12 agosto, Gaucci aveva dichiarato: "Se la procura di Perugia ritiene illecito il mio patrimonio e lo ha sequestrato, perché non fa la stessa cosa anche con i beni che ho affidato alla mia ex compagna? O, almeno, perché non le chiede di dimostrare l’origine della sua ricchezza?".
Concorso in bancarotta fraudolenta Il settimanale Mondadori riferisce anche che il procuratore facente funzioni di Perugia, Giuliano Mignini, ha incaricato il sostituto procuratore Antonella Duchini di lavorare sul fascicolo relativo al patrimonio della Tulliani. Il pm Duchini è lo stesso che si è occupato del procedimento sulla bancarotta fraudolenta il fallimento del Perugia calcio di Gaucci. Le possibili ipotesi di reato per la vicenda Tulliani vanno dal concorso in bancarotta fraudolenta alla ricettazione. "Bisognerà vedere le carte" ha dichiarato il pm a Panorama.
Le società offshore Oltre che al patrimonio della Tulliani, il settimanale dedica un articolo anche all’isola caraibica di Saint Lucia, dove hanno sede le società coinvolte nella compravendita della casa di Montecarlo: la Printemps, che acquistò l’immobile per 300mila euro dai tesorieri di An, e la Timara, che tre mesi dopo lo comprò per 330mila euro. Tutte le società hanno sede al numero 10 di Manoel street. "Ma sul portone - scrive Panorama - non c’è neppure una targa; nemmeno quella della Corporate agents, la società di Michael Gordon, il direttore della società che ha stilato i contratti di formazione della Printemps e della Timara". Contattato da Panorama, Gordon dice: "Non ho nessun ricordo della nascita di quelle società: ne faccio talmente tante. E anche se ne avessi non ne parlerei. Sono un avvocato e non è mia abitudine dare informazioni sui miei clienti".
La registrazione Al settimanale il responsabile della Pinnacle, il registro delle International business companies, Lester Martyr, spiega che per creare una società off-shore a Saint Lucia basta andare sul sito internet del registro da qualsiasi paese del mondo: dal momento in cui ci si registra alla costituzione della società, racconta, bastano 24 ore. E non c’è altra isola caraibica che permetta di farlo direttamente.


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jeudi, août 19, 2010

Il popolo è sovrano, basta che non decida di abrogare qualcosa

Il popolo è sovrano, basta che non decida di abrogare qualcosa

ItaliaOggi Numero 196 pag. 7 del 19/8/2010 PRIMO PIANO di Serena Gana Cavallo

I custodi della Costituzione fanno finta di non vedere che l'articolo 75 sul referendum è andato a farsi benedire
La Costituzione italiana, si sa, è la migliore costituzione possibile per il migliore dei mondi possibili. I suoi 347 padri e le sue nove madri, una volta nata la meravigliosa creatura pur dopo non pochi contrasti in itinere sulle sue fattezze definitive, decisero che fosse dotata di attenti e vigorosi difensori onde tutelarne la salute e proteggerla da malintenzionati che avessero voluto, che so, scorciarle i capelli, variare qualche ornamento, intaccarne i lineamenti e le linee perfette. A nume tutelare dei difensori fu scelto Agilulfo Emo Bertrandino dei Guildiverni e degli Altri di Corbentraz e Sura, Cavaliere di Selimpia Citeriore e Fez, le cui gloriose vicende di difensore di fanciulle narrò Italo Calvino. Per ragioni di massima sicurezza la Costituzione fu messa a dimorare nel Paese di Shangri-Là, che non è un hotel, ma un posto segreto e sperduto ma perfetto, di cui ha scritto James Hilton e che fu filmato da Frank Capra, che aveva, tra i suoi infiniti pregi, quello di essere la sede della fonte della perenne giovinezza. Con un piccolo inconveniente: chi ne usciva, si vedeva, tutto d'un tratto, piombare addosso tutti i suoi anni reali divenendo, in un amen, incartapecorito più o meno come la mummia di Seti I, se avete presente.
Avventatamente la Costituzione, con orrore dei suoi guardiani, mise un giorno fuori il nasino e perse parecchio del suo smalto. I custodi la bloccarono sulla soglia e cominciarono a discutere su che tipo di interventi di chirurgia estetica (ed anche un po' funzionale, visto che barcollava vistosamente) sarebbe stato necessario orientarsi. Non se ne fece nulla e la poveretta continuò a deperire, ma poiché, dopotutto, era sempre, nell'animo, la splendida fanciulla di un tempo tutti furono d'accordo per continuare a difenderla decantandone le lodi. Fecero così finta di non vedere che, per esempio, il cosiddetto articolo 75, uno di quelli ricollegabili ad una zona del cerebro, fondamentale per dare coerenza alla storia del popolo sovrano individuabile nella fronte un tempo luminosa, pura e ornata da uno stellone, era andato completamente a farsi benedire. Infatti i referendum indetti sulla base di quell'articolo, dopo qualche esperimento di generale soddisfazione cominciarono e deperire. Una legge abrogata usciva da una porta e, dopo pochissimo tempo, con qualche orpello in più, rientrava dalla finestra. Il Ministero dell'agricoltura si è trasformato in Ministero delle politiche agricole e lì saldo rimane, perché ad un terzo referendum per abolirlo tutti si erano stufati e lo mandarono buca.
Il Ministero del turismo e spettacolo, dopo l'abrogazione è rinato a metà: solo il turismo. L'abolizione del finanziamento pubblico ai partiti, dopo un primo flop nel 1978 ottenne un consenso pressoché plebiscitario (90,3%) nel 1993, ma anche qui, dopo che il tutto si era trasformato, nel dicembre 1993 con una prontezza di riflessi invidiabile, da finanziamento a contributo, il popolo sovrano, definitivamente scaglionato decise, nel 1999, che non valeva la pena di sprecarci un'altra domenica di primavera e andò a fare una gran mangiata fuori porta, per non sentirsi del tutto escluso dal festino. Tre mesi dopo il «contributo» divenne «rimborso spese per consultazioni elettorali e referendarie» (coglierete senz'altro la sottile ironia), e va sottolineato che la parola rimborso è un termine come un altro, non avendo alcun collegamento con spese concretamente sostenute ma essendo in pratica un lucrosissimo finanziamento a vantaggio di chiunque si inventi, dall'oggi al domani, un partitino o una lista di paese. Ad un certo punto gli italiani, sempre innamorati della loro Costituzione, convenirono che non c'era motivo al mondo per cui i magistrati non dovessero esser tenuti responsabili dei loro errori e nel 1985 votarono, all'80%, per l'abolizione delle norme limitative della responsabilità civile per i giudici. Giusto il tempo di rifiatare e nel 1988 fu deciso che se i magistrati sbagliavano era lo Stato che doveva risarcire.
Ai più sfuggì perché analoga norma non venisse emanata anche per tutti i medici del servizio sanitario nazionale, tanto per fare un esempio. Comunque, da allora paghiamo tutto noi, ma il principio che i magistrati possono sbagliare è salvo. A scanso di equivoci la Corte Costituzionale nel 2007 dichiarò inammissibile un ulteriore referendum per abrogare la nuova legge.
La ciliegina sulla torta è costituita dal referendum che, nel giugno del 1995, stabilì che era opportuno procedere alla privatizzazione della Rai. Qui non è stata sprecata nemmeno la fatica di una leggina ad hoc: semplicemente non si è mosso un capello e tutto è rimasto immutato. E i custodi della Costituzione? Son lì, uno dopo l'altro, che lodano la Costituzione, inneggiano alla sua validità, alla sua profonda bellezza. Sull'articolo 75 fanno i vaghi. Ammettono che sì, forse qualcosina da cambiare c'è, magari il bicameralismo troppo perfetto, ma comunque tutto va bene: dopo tutto, il popolo è sovrano. Non c'è scandalo se la Rai viene trattata come bancomat per amici e parenti: la Rai è del popolo, in fondo siamo sempre lì. Il popolo è sovrano e paga il conto.

mercredi, août 18, 2010

Chiamparino sfida l'Onu: vadano via. La portavoce Boldrini: li rispetti

«Profughi? Sobillati dai no global»
Corriere.it 20100818 Marisa Fumagalli 18 agosto 2010 © RIPRODUZIONE RISERVATA


Torino Il sindaco pronto a vendere l'edificio occupato. «Noi li aiutiamo, ma adesso i fondi sono finiti»

Chiamparino sfida l'Onu: vadano via. La portavoce Boldrini: li rispetti

MILANO — «Noi, i rifugiati li aiutiamo, non li cacciamo — dice il sindaco di Torino —. Chiaro? Prima di alzare il dito, la portavoce Onu s'informi bene». Risposta immediata: «Figurarsi, nessun intento censorio da parte nostra. Chiediamo solo approfondimenti, offriamo esperienza e collaborazione». E se la polemica d'agosto fosse nata da un equivoco, da un mezzo equivoco almeno? Le scintille tra Sergio Chiamparino (Pd decisionista, moderato, che piace perfino a Bossi) e Laura Boldrini prendono mezza pagina del quotidiano Italia Oggi di ieri. Dove si racconta di un primo cittadino che, dovendo far cassa, decide di vendere un immobile occupato da profughi e usa il pugno di ferro; e, quindi, della reazione piccata dell'Alto Commissariato delle Nazioni Unite, di due lettere che lo diffidano a procedere se prima non sistema la situazione dei rifugiati. Chiamparino, in vacanza nella sua casa di campagna nel Biellese, da un paio di giorni è a letto con la febbre. Al telefono, però, risponde. Parte soft, poi, conversando, s'incavola un po'.
«Alla seconda missiva, tra l'altro non firmata dalla Boldrini ma da un altro esponente dell'Alto Commissariato, ho appena risposto — spiega —. Ho illustrato la situazione com'è, con l'invito a documentarsi. E, nel ruolo di presidente dell'Anci, ho chiesto di pubblicare numeri e dati su come i vari Comuni italiani affrontano i problemi dei rifugiati. Carte in tavola, insomma. Altrimenti, va a finire che chi si dà da fare per gli immigrati trovando soluzioni ragionevoli, si attira guai e resta con il cerino acceso». Vuole riassumerci come sono andate le cose a Torino? «Circa un anno fa — attacca il sindaco — un gruppo di rifugiati eritrei e somali sono approdati in città occupando l'ex clinica San Paolo. Tam tam, così altri ne sono arrivati. Lì, certo, non potevano stare. Allora, ho fatto in modo di spostarli, erano 300, temporaneamente, nell'ex caserma di via Asti. Gli ho proposto un programma di inserimento, con relativo sostegno economico. Risultato? Alcuni se ne sono andati spontaneamente, 230 hanno aderito all'offerta. Quindici di loro, sobillati dai centri sociali e appoggiati da Rifondazione, invece, via di lì hanno occupato l'ex sede dei vigili, in corso Chieri». «In aggiunta a questi — continua — c'è da considerare la scelta di altri 18 profughi, questa volta eritrei, che mai starebbero con i somali per assoluta incompatibilità, insediati abusivamente in un edificio adiacente all'ex clinica San Paolo. Trattasi di proprietà privata. Al riguardo, mi risulta che il Prefetto abbia invitato i proprietari alla prudenza, negli sgomberi».
«E questa sarebbe politica repressiva? A me pare di aver semplicemente usato il buon senso — nota Chiamparino —. Per inciso, con la collaborazione del governo». E i quindici che tengono duro? «L'opportunità l'hanno avuta — taglia corto —. Che posso fare ancora? Oltretutto, non ci sono più fondi». Dunque, devono sloggiare? «Certo». Sentiamo anche la campana di Laura Boldrini. La portavoce dell'Alto Commissariato per i rifugiati si trova all'estero da qualche settimana. Non ha scritto personalmente le lettere al sindaco di Torino e, a quanto pare, non le ha neppure lette preventivamente. Ne è, comunque, al corrente. S'informa sulla versione giornalistica dei fatti ed esprime stupore. «Ma quale polemica? Non diamo pagelle a nessuno, tanto meno a Chiamparino — dice —. Ci siamo rivolti a lui per approfondire la situazione torinese ma anche per valutare la situazione nel suo complesso, dal momento che il sindaco è alla guida dell'Associazione dei Comuni italiani. Insomma, vorremmo incontrarlo per discutere, non per attaccare». Già. Ma Chiamparino sostiene che «siete disinformati, che fischiate al fallo, con facilità. Insomma, se l'è presa». «Mi dispiace — replica Boldrini —. Chiedere di approfondire non significa bocciare. Ho l'impressione che Chiamparino abbia considerato più la montatura dei fatti, che non il contenuto autentico delle lettere».
Marisa Fumagalli
18 agosto 2010© RIPRODUZIONE RISERVATA

Gli operai sotto ricatto: per non perdere il posto ci vuole la tessera Cgil

Gli operai sotto ricatto: per non perdere il posto ci vuole la tessera Cgil

di Paola Setti Il gironale.it 20100818 articolo di mercoledì 18 agosto 2010


L’assurdo obbligo imposto ai lavoratori dal commissario di un'azienda ligure. Chi si rifiuta perde il posto
Versare la quota alla Cgil per poter lavorare. Stanno lì in venti a fare la guardia al bidone, ma vatti a lamentare. Era il 2002 quando la Stoppani, una bomba chimica perennemente pronta a esplodere in riva al Mar Ligure, in quel di Cogoleto (Genova), chiuse i battenti, inserita d’ufficio e d’urgenza fra i 15 siti nazionali ad alto rischio ambientale e dotata di un commissario che, sotto la guida del ministero dell’Ambiente, portasse avanti una bonifica a dir poco complessa, dopo decine di anni e centinaia di tonnellate di cromo esavalente.
Da allora sono otto anni che si va avanti così, di contratto in contratto, tre mesi e poi otto e poi tre, ma sempre con quella lettera maledetta fra un ingaggio e quello successivo, «la presente per ricordarle che il suo contratto avrà termine» il giorno ics, ma ci riserviamo «la facoltà di comunicarle successivamente l’eventuale esigenza di stipulare con lei un ulteriore contratto a termine», e via tutti a incrociare le dita. Per dirla con l’assessore al Lavoro della Regione, il comunista Enrico Vesco, per gli operai «il destino è incerto, ma garantito dalle istituzioni». Già. «Peccato che di mezzo ci sia il sindacato», lamentano loro. Càpita infatti che il governo abbia fatto sapere di non voler rinnovare la gestione commissariale in scadenza al 31 dicembre, avvertendo pure che ai 40 milioni spesi in tre anni per avviare una bonifica che però ancora non vede la luce non ne verranno aggiunti altri. E che in questo clima gli operai abbiano scoperto che per mantenere il posto devono essere iscritti alla Cgil.
La lettera è su carta intestata del Dipartimento della Protezione civile, la firma il «soggetto attuatore Cecilia Brescianini», il commissario. Dice che per stipulare il contratto gli operai dovranno «indicare un rappresentante di una delle organizzazioni sindacali comparativamente più rappresentative sul piano nazionale».
Tradotto: sul modulo da compilare devono esplicitamente scegliere un rappresentante di Cgil, Cisl o Uil, e quindi in ultima analisi della Cgil, visto che le altre due sigle alla Stoppani non esistono. Ne esiste una quarta, la Cisal, ed è a quella che è iscritta la maggior parte dei lavoratori qui. Ma anche gli iscritti al sindacato autonomo si son visti fare la stessa richiesta, nonostante la Cisal abbia sempre sottoscritto il contratto nazionale di categoria al pari della «Triplice» e dell’Ugl.
Anomalia su anomalia, c’è da registrare l’inedito di un datore di lavoro che in qualche modo impone a un lavoratore il proprio rappresentante. Eppure la querelle va avanti da mesi. Perché quando alcuni operai, con un gesto di sfida, hanno dato la disdetta alla Cgil e si sono iscritti alla Cisal, si sono trovati in busta paga una doppia trattenuta: 10 euro per la Cisal, 14.74 per la Cgil. È che restituire la tessera non basta. Questo almeno s’è presa la briga di spiegare agli operai sul piede di guerra non la Cgil, ma ancora la dottoressa Brescianini. La prima risposta è stata una lettera infilata in busta paga, non firmata e non su carta intestata, nella quale si spiegava che la ritenuta continuerà fino a fine anno, perché l’adesione a un sindacato è annuale e la disdetta è arrivata oltre la fine del 2009, e che c’entra se tu hai un contratto di tre mesi, dura lex sed lex. Solo che di leggi, qui, nessuno ne ha trovate a supportare questa tesi, e così si è giunti al braccio di ferro.
Gli operai hanno scritto al commissario che, ecco, gentilmente si occupasse dei casi suoi, visto che qui trattasi di querelle con un sindacato e non con una struttura commissariale che dovrebbe essere un organo di garanzia, invitandola a «non prelevare più un euro» dai loro stipendi pena l’attivazione «delle vie legali per appropriazione indebita». La dottoressa però non ha affatto gradito, né i contenuti né il tono di espressioni che ha considerato «chiaramente intimidatorie, offensive e minacciose nei confronti del datore di lavoro». Ha aggiunto, il commissario, che «l’insubordinazione verso i superiori» può essere punita anche con il licenziamento. Adesso che la Regione chiede al governo di prorogare il commissariamento e di stanziare altri 15 milioni di euro per la bonifica, forse la benedetta tessera alla Cgil converrà rifarla.

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La lunga lotta ai terroristi (con onore delle armi finale)

Corriere.it 20100818 Giovanni Bianconi

La lunga lotta ai terroristi (con onore delle armi finale)

Gli ex brigatisti ricordano che fu l'unico a considerarli nemici politici

ROMA - «E' stato l'unico», hanno sempre ripetuto all'unisono i terroristi rossi e neri (ma soprattutto rossi) che negli anni Settanta l'hanno considerato come il principale nemico e poi, appunto, «l'unico» ad aver riconosciuto loro l'onore delle armi; la dignità di avversari politici che, cessati gli spari e pagati i debiti con la legge, avevano diritto a essere considerati ciò che si consideravano: rivoluzionari sconfitti, non criminali comuni. Una sorta di legittimazione postuma, arrivata a guerra finita, che in realtà serviva anche a lui, per legittimare se stesso e una linea che avrà pure portato alla sconfitta del terrorismo - ma dopo quanto tempo? E dopo quanti morti? - e però è costata sacrifici immani. A cominciare dal sostanziale «via libera» all'esecuzione di quello che definiva il suo amico e maestro, Aldo Moro, ucciso dalle Br anche per la «fermezza» sponsorizzata in primo luogo da lui stesso, ministro dell'Interno di quei drammatici 55 giorni.
Il giorno della morte di Francesco Cossiga (non più Kossiga, come scrivevano trent'anni fa) quel giudizio non cambia. E accomuna pressoché tutti gli ex brigatisti di ogni risma e categoria: dissociati, pentiti, irriducibili, arresi, e qualsiasi altra definizione si voglia trovare per chi è passato dalla principale formazione armata dei cosiddetti «anni di piombo». Capi o gregari che fossero.
Uno che ha sempre rivendicato la propria militanza brigatista collezionando ergastoli senza mai rispondere alle domande di un magistrato - Francesco Piccioni, della colonna romana delle Br, responsabile di diversi omicidi firmati con la stella a cinque punte - l'ha intervistato per un libro sul '77, l'anno delle sparatorie in piazza, dei morti in divisa e fra i dimostranti; quasi rivendicati, questi ultimi, da Cossiga. «Con lui - ricorda oggi Piccioni - s'era instaurato un rapporto simile a quello fra ufficiali di eserciti nemici che si sono combattuti e presi a fucilate, ma una volta terminato il conflitto hanno concesso alla controparte il dovuto rispetto». E per i brigatisti rispetto significa essere catalogati come guerriglieri battuti in uno scontro senza quartiere, e non solo assassini che seminavano morti agli angoli delle strade, di solito la mattina presto, quando gli «obiettivi» uscivano di casa per andare al lavoro. Il ministro dell'Interno e poi presidente del Consiglio di quella sanguinosa guerra aveva riconosciuto la genuinità del fenomeno eversivo italiano. E questo per i militanti della lotta armata, carcerati e assediati dalla «dietrologia» di chi teorizza oscure e indicibili trame dietro le loro gesta, è già un grande risultato.
E' quello che sottolinea anche Valerio Morucci (un «dissociato» degli anni Ottanta, altra categoria di ex brigatista), quando afferma che «Cossiga aveva interiorizzato il dramma della gestione del potere, necessariamente cinica e indifferente alla vita dei singoli». Fosse anche quella di Aldo Moro, lasciato uccidere senza tentare nulla che non fossero spettacolari e un pò farsesche operazioni di polizia che sapevano più di parata che di investigazione.
Allora il riconoscimento dello status di nemici politici insorti, negato al tempo del conflitto (anche al prezzo dell'omicidio di Moro, come di tante altre vittime) è stato pure - forse - un modo per riabilitare la propria rivendicata «fermezza», oltre che i «guerriglieri» dell'epoca. «Cessate le ragioni dell'inimicizia e quella della propaganda, ha saputo riconoscere la nostra identità - spiega ancora Morucci - offrendo la possibilità di una memoria non unica ma comune; non condivisa ma narrabile da tutti, ciascuno per la parte che ha rappresentato».
La legittimazione reciproca con gli ex terroristi ha attraversato gli ultimi vent'anni di vita politica di Francesco Cossiga. Dalla volontà di concedere la grazia a Renato Curcio fino alla lettera inviata agli avvocati brasiliani di Cesare Battisti, utilizzata per tentare di far ottenere l'asilo politico all'ex militante dei Proletari armati per il comunismo, condannato a quattro ergastoli per altrettanti omicidi, di cui l'Italia aspetta ancora l'estradizione. In quella missiva scrisse che i «sovversivi di sinistra» erano dei «rivoluzionari impotenti, che con gli atti di terrorismo credevano non certo di fare, ma di innescare la rivoluzione, secondo gli insegnamenti di Lenin. I crimini della sovversione di sinistra sono crimini ma politici, non comuni».
Difficile sperare di più da un governante al quale, trent'anni prima, i brigatisti e gli altri «rivoluzionari» avrebbero sparato senza alcuna remora. E lui altrettanto.
Giovanni Bianconi
18 agosto 2010© RIPRODUZIONE RISERVATA

mardi, août 17, 2010

L'arte italiana di autoflagellarsi usando i giornali stranieri

ItaliaOggi Numero 194 pag. 2 del 17/8/2010 I COMMENTI L'analisi

L'arte italiana di autoflagellarsi usando i giornali stranieri

di Sergio Luciano

Diciamo la verità: questi soloni stranieri che macinano luoghi comuni sull'Italia dall'alto, o dal basso, dei loro giornali, ci hanno veramente stufato. Sia quando parlano male di noi, sia quando ne parlano bene. E soprattutto ci hanno stufati tutti gli italiani che ad ogni stormir di titolo negativo di qualche giornale straniero si stracciano le vesti, mentre sono rigorosamente indifferenti quando capita, assai più di rado, che gli osservatori stranieri parlino bene di noi. In questo scorcio d'estate è capitato proprio così. L'autorevole (?) settimanale tedesco Der Spiegel ha scritto in una sua inchiesta, testualmente, che forse “«l'Europa deve imparare dall'Italia» come si esce dalla crisi economica, sottolineando la capacità del nostro sistema bancario di andare avanti senza iniezioni di denaro pubblico e del sistema economico nel suo complesso di ritornare a crescere nonostante la schiacciante montagna del debito pubblico... Be', come se non l'avesse scritto nessuno. Eppure fece epoca la copertina dello stesso Der Spiegel in cui per metaforizzare la pericolosità della vita in Italia e il dilagare della criminalità nel nostro Paese s'era scelta l'immagine di una pistola messa su un piatto di spaghetti. Allora, com'è? Si fanno due pesi e due misure? Se Der Spiegel critica, ampie riprese e se elogia, indifferenza? Ma non basta: qualche giorno fa il periodico economico americano Forbes ha pubblicato una sua classifica dei 50 marchi più conosciuti al mondo, e tra questi non ne ha annoverato nessuno italiano, anzi sì, Gucci, ma all'ultimo posto (e comunque ormai la griffe appartiene ai francesi di Ppr, gruppo Pinault). Nella bizzarra classifica di Forbes ai primi posti ci sono tutti marchi Usa, e quasi tutti hi-tech: da Apple a Microsoft, a Ibm, a Intel senza dimenticare Coca-Cola, Google, McDonald's, General Electric, Marlboro. Seguono distanziati celebrità straniere come Nokia, Toyota, Bmw o Louis Vuitton, Nescafè e Ikea. Ora, dire che Bmw sia più noto di Ferrari, Louis Vuitton di Armani, e Nescafè di Lavazza o di Ferrero è una semplice, ma monumentale, scemenza. Evidentemente il sondaggio era stato fatto solo negli States, e non nel mondo. O ancor più facilmente era un sondaggio fatto a casaccio. Ebbene: è stato ripreso con enfasi da tutti i media italiani. Ma va bene così: continuiamo a farci del male. Mentre qualcuno prova, sia nel pubblico che nel privato, a difendere il made in Italy e valorizzarlo, i più se ne fregano. Ma la colpa non è dei giornalisti stranieri, spesso asini quanto e più di noi, ma è di chi gli corre dietro e gli dà credito.

Il bipolarismo piace agli elettori ma va stretto ai politici I quali politici, dopo il voto, desiderano fare ciò che vogliono .......

ItaliaOggi Numero 194 pag. 4 del 17/8/2010 PRIMO PIANO


Il bipolarismo piace agli elettori ma va stretto ai politici I quali politici, dopo il voto, desiderano fare ciò che vogliono e ciò che a loro interessa


Le scelte espresse con il voto sono ritenute, tutt'al più, dei semplici auspici


di Diego Gabutti

Nonostante l'appello del presidente della repubblica, che dalle colonne dell'Unità ha lanciato il dovuto (ma ormai un po' sciapo) invito a «moderare i toni», la «campagna di stampa contro la terza carica dello stato» non cesserà. Esattamente come non vedremo tanto presto i titoli di coda della jihad infinita contro il Cavaliere (una guerra santa abbracciata di recente dai futuristi di Gianfranco Fini ma proclamata oltre vent'anni fa dalla proprietà e dalla redazione di Repubblica senza che Napolitano e i due presidenti della repubblica che l'hanno preceduto sul Colle abbiano mai neppure pensato di denunciare le campagne di stampa «destabilizzatrici» contro due o tre presidenze del consiglio). Questa è una di quelle giostre che semplicemente non si possono fermare.

E non soltanto perché la guerra interna ai Palazzi italiani è disgraziatamente «fondata su qualcosa di concreto», come si leggeva un tempo sui giornali dabbene (infatti c'è davvero del marcio a Montecarlo, e Silvio Berlusconi, da parte sua, sta veramente «cospirando» con Umberto Bossi e gli ex An traditori, come sostengono i finiani, per isolare la componente centralista, «nazionale» e in definitiva postfascista del Popolo della libertà). Ma anche, anzi soprattutto, perché c'è qualcosa che non torna nei calcoli del bipolarismo italiano, che piace agli elettori ma va stretto ai politici. Questi hanno tutti l'aria di santarellini, sbattono candidamente le lunghe ciglia verginali, ma la verità è che coltivano un'idea hollywoodiana della politica e che si sentono a loro agio soltanto quando possono affrontare il nemico politico a torso nudo e armati di coltello, come Rambo II e III a caccia di consiglieri sovietici nelle giungle vietnamite o nelle valli afghane. O qualcuno crede davvero ai sospiri di quei politici che dicono di rimpiangere i partiti tradizionali, radicati nel territorio, «identitari», di massa, i partiti pieni di tesserati che organizzano feste, affiggono manifesti, portano gli striscioni in corteo, indossano magliette con i faccioni di riferimento, strillano slogan nel megafono, distribuiscono volantini nei mercatini rionali e in generale si comportano come invasati? Dei partiti tradizionali ai politici importa meno di niente. Quel che i politici vogliono davvero è una lotta senza esclusione di colpi. Vogliono la guerriglia, meglio se praticata da piccoli commando nei più sperduti avamposti parlamentari della repubblica, lontano dalla civiltà (e dall'elettorato). Bei tempi, pensano, quando si può vivere pericolosamente, come nei romanzi di James Fenimore Copper, dove gli ultimi dei mohicani e i loro amici cacciatori bianchi campano scuoiando alci e procioni, scambiandosi frasi pompose, tendendo imboscate alle «giubbe rosse» e mangiando radici crude. È nelle correnti dei partiti (o nei gruppi e gruppuscoli dissidenti che nascono per lo più fuori stagione, a metà legislatura) che le Giovani marmotte della seconda repubblica realizzano, proprio come i boy scout della prima repubblica che le hanno precedute sulla scena, il loro più autentico destino: fare parte d'una banda.

Nei vecchi partiti, quando c'erano eretici e pagani da combattere, i politici ricorrevano ad argomenti più o meno razionali: che fare, perché farlo, come farlo. In una banda di mocciosi armati di fionde gli argomenti razionali non si sa neanche dove stanno di casa. Ai vecchi tempi nessuno si sarebbe permesso di dedicare intere pagine di giornale agli amorazzi mercenari del Cavaliere, così come nessuno avrebbe chiamato la moglie del presidente della camera (vedi Libero) «l'ex di Gaucci», nella convinzione che in politica sia giusto non fare prigionieri. Una banda, diversamente dai partiti (e dai giornali) tradizionali, non conosce la differenza tra una vendetta privata e un atto di giustizia, tra il verdetto d'una giuria e un regolamento di conti. Una banda controlla il territorio, con ogni mezzo, come nei Ragazzi della Via Paal, e peggio per chi sconfina.

Privatizziamo la Rai, una volta per tutte

ItaliaOggi Numero 194 pag. 8 del 17/8/2010 PRIMO PIANO

Privatizziamo la Rai, una volta per tutte

di Serena Gana Cavallo

Avendo passato metà dell'anno scorso a vedere dei murales su Berlusconi, le minorenni, le escort e affini, mi sembra che continuiamo ad essere perfettamente nella norma. Oggi a me, domani a te. Per quanto riguarda l'editoria, la decadenza è cominciata molto tempo fa, con le paginate su veline, cantatrici, starlette, gossip, su cui tutti, Corriere in testa, si sono buttati avidemente. Va però detto che, almeno, Libero e il Giornale non campano sulle soffiate dei magistrati, anche se è probabile che qualche «manina» soccorrevole ci sia stata. Di fatto, oltre alla «canzone per l'estate» cantata da De Andrè e De Gregori, ormai ci siamo assuefatti allo «scandalo pruriginoso dell'estate», cui fanno da dovuto contorno le perturbazioni apocalittiche che squassano il pianeta, ma sbalordiscono più che commuovere, salvo il caso che ci sia almeno un connazionale tra le vittime.

Quello che mi stupisce è, in tutto questo, la sicumera di Gianfranco Fini. Avete presenti quei film americani dove i (o la) protagonista sono in una situazione di angoscioso pericolo? C'è sempre la scena di lui (o lei) che rientra a casa, apre la porta e nemmeno accende la luce. Noi, tutti noi, però, lo sappiamo che sta per cadere in trappola. Infatti, quasi sempre, la luce, la accende il malvagio di turno che se ne sta bel bello, seduto su poltrona o divano, con una pistola pronta all'uso tra le mani. Ecco, Fini ad ogni passo o dichiarazione, sembra avanzare decisamente verso un baratro molto profondo, ma lui continua, imperterrito, con le sue spiegazioni assurde e con le querele pret-a -porter. Ora, o Feltri e Belpietro e tutti quelli che pian piano gli sono andati dietro, sono dei pazzi totali, o la goccia quotidiana di una prova o di una testimonianza al giorno, tra brighe in Rai e residenze estere, distruggerà Fini in via definitiva. E allora verrebbe da dirgli: fermati, fa un passo indietro! Ma niente, lui apre la porta ed entra in casa senza accendere la luce. In tutto questo pirotecnico spettacolo degli opposti ventilatori, l'unica raccolta di firme che varrebbe la pena di fare e che riscuoterebbe un successo plebiscitario è «Privatizziamo la Rai, una volta per tutte», come da referendum fatto e dimenticato. Ci siamo stufati, non se ne può più di pagare i contratti lucrosi di questo e di quello. I cognati nell'ombra e gli amici in pieno sole. È uno scandalo assoluto e trasversale che deve finire. Forse Napolitano, tra un'intervista e l'altra, dovrebbe prendere posizione netta e ultimativa almeno su questo, perché se i cittadini hanno parlato e la politica non vuol sentire, il presidente super partes che mostra di preoccuparsi tanto di noi è ora che faccia la sua parte, dando una mano di smalto a poteri istituzionali e costituzionali, che sembrano essere, a seconda delle giornate, molto flessibili, praticamente a fisarmonica.

lundi, août 16, 2010

La France "doit rembourser" Haïti (Lefigaro.fr 20100816) AFP

La France "doit rembourser" Haïti (Lefigaro.fr 20100816) AFP

Un groupe d'intellectuels et de responsables politiques a appelé lundi la France à rembourser à Haïti 17 milliards d'euros, une estimation des sommes qui furent exigées par Paris en échange de l'indépendance de son ancienne colonie, obtenue en 1804.

Cet appel se présente sous la forme d'une lettre ouverte au président Nicolas Sarkozy, publiée lundi dans Libération. Elle est signée par des intellectuels, comme le linguiste américain Noam Chomsky, le philosophe Etienne Balibar, ou les eurodéputés Daniel Cohn-Bendit et Eva Joly.

"Considérant les besoins financiers criants de ce pays dévasté par le terrible séisme du 12 janvier, nous vous pressons donc, monsieur le président, de restituer à Haïti, la première république noire de l'histoire, la dette historique de son indépendance", écrivent les signataires.

Le terrible tremblement de terre de janvier a causé la mort d'au moins 250.000 personnes.

Les signataires rappellent qu'après l'indépendance d'Haïti, le roi Charles X (1824-1830) imposa aux Haïtiens de payer à la France 90 millions de francs or, sous la menace d'une invasion militaire et d'une restauration de l'esclavage. Cette "dette de l'indépendance" est aujourd'hui estimée à "bien plus" que 17 milliards d'euros, selon eux.

"Cette indemnité a fait ployer des générations de Haïtiens sous le poids d'une dette illégitime, dette que la nation haïtienne n'a fini de payer qu'en 1947", ajoutent-ils.
Les signataires de cette pétition se présentent comme un "groupe de soutien au comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés" d'Haïti (Crime).
Ce comité est à l'origine de la mise en ligne, le 14 juillet dernier, d'une réplique en forme de canular du site internet du Quai d'Orsay, dans lequel était faussement annoncé un remboursement de ces sommes.

Ce site (www.diplomatiegov.info), dont les auteurs sont basés au Canada, publiait également lundi le texte de la pétition ainsi que la liste de la centaine de signataires.

samedi, août 14, 2010

Allarme per il superbatterio invincibile L'India contro Lancet: "Non è nato qui"

Allarme per il superbatterio invincibile L'India contro Lancet: "Non è nato qui" - Repubblica.it
Allarme per il superbatterio invincibile      L'India contro Lancet: "Non è nato qui"

Adesso sono due (e opposti) i mega-ventilatori che stanno distribuendo la roba sull'intero Paese

contro la lega e contro l'italia

La vera Elisabetta? Vi dico che solo Fini poteva cascarci

Quegli uomini normali che frequentano le trans

Quegli uomini normali che frequentano le trans - Italia - Panorama.it
Quegli uomini normali che frequentano le trans


«Troppi matrimoni accorciano la vita»

A Repubblica si stanno scontrando la linea Milella con quella Mauro

ItaliaOggi Numero 192 pag. 5 del 13/8/2010 PRIMO PIANO Backstage editoriale


A Repubblica si stanno scontrando la linea Milella con quella Mauro


Dopo che Repubblica ha rifiutato, per giorni, di fornire ai suoi lettori la notizia dell’appartamento ereditato da An e finito, non si sa come, nella disponibilità del cognato del segretario del partito, in base al convincimento che si trattasse, non di una notizia, ma di un semplice «attacco squadristico» organizzato a freddo dai giornali della scuderia Berlusconi, anche Repubblica ha dovuto rassegnarsi a raccontare la notizia.

Ma restano, nel giornale di largo Fochetti, due linee divergenti. Forse studiate opposta per coabitare. Una, diciamo così, assolutoria, della quale sono interpreti, sia pure in modo diverso, Massimo Giannini e Liana Milella.

E l’altra, emersa solo mercoledì scorso, del direttore Ezio Mauro, che invece vorrebbe che Gianfranco Fini vuotasse tutto il sacco sulla vicenda dell’appartamento in Costa Azzurra finito nella disponibilità del cognato.

Mauro, sia pure dopo aver lasciato passare altri due giorni, ha dato infatti una brusca sterzata al timone del suo giornale, dopo che il suo vice, Massimo Giannini, nel fondo di lunedì scorso, a commento delle risposte date il giorno prima da Fini sull’appartamento in Costa Azzurra, si era dichiarato pienamente soddisfatto delle risposte fornite dal presidente della Camera che, secondo Giannini, chiudevano definitivamente questa squallida imboscata berlusconiana e restituivano piena trasparenza all’azione di Fini.

La Milella invece aveva scelto, per assolvere Fini, la via del temporeggiamento, detta anche del «Campa cavallo», informando i lettori di Repubblica (che, su questo argomento, tambureggiano sempre più veementemente sul sito del giornale) di pazientare perché Fini, fra 20 giorni (!), quando cioè il cognato rientrerà dalle vacanze dove non può evidentemente essere disturbato, darà tutte le risposte che il cognato stesso dovrà fornirgli sulla vendita dell’appartamento monegasco di cui, conferma la Milella, e noi le crediamo sulla parola, Fini era totalmente all’oscuro.

Senonché Mauro, mercoledì scorso, esce dalle secche di questa palude nella quale il suo giornale si stava arenando, con un secco fondo dal titolo «Il dovere della chiarezza» nel quale dopo «aver dato atto» a Fini «di aver detto la sua verità sull’affare Montecarlo» egli deve anche «pretendere la verità da Giancarlo Tulliani, intermediario della vendita». Mauro, a questo punto, diventa ingiuntivo: «Fini chieda a Tulliani nomi e cognomi degli acquirenti e le condizioni di affitto. Questo per rispondere al sospetto, ogni giorno più pesante, che Tulliani abbia intermediato se stesso, dietro il paravento off shore».

Dal fondo di Mauro non si riesce a capire se il direttore di Repubblica vuole da Fini una risposta immediata anche perché «il sospetto» come dice lui «diventa ogni giorno più pesante». Oppure se Repubblica si accontenterà di ottenere questa risposta fra 20 giorni come suggerisce la Milella.

E se la vuole subito, la risposta, Repubblica, che ha inventato il format, sottoporrà anche Fini, finché non avrà scucita «l’altra verità», all’efficace tormentone delle stesse domande riproposte ogni giorno al presidente della Camera? Resta però un buco nella curiosità della Repubblica e, presumo, anche dei suoi lettori. Non le interessa proprio sapere come la madre della Tulliani, di professione casalinga per tutta la vita, e non iscritta all’albo dei fornitori (che certifica obbligatoriamente l’idoneità tecnica ed economica all’esercizio di questo business) abbia ottenuto un contratto di un milione e mezzo di euro dalla Rai per fare un programma che prima la Rai faceva in casa?